« Voici que je contemple les cieux ouverts et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu….»

« Voici que je contemple les cieux ouverts et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu….»

Alors que nous approchons lentement de la fin de l’année pastorale, vient le moment pour moi d’appliquer l’ordonnance du 12 novembre 1987 du cardinal Lustiger (publiée dans « Paris Notre-Dame » n° 191) et de constater la dissolution, de droit, du Conseil Pastoral paroissial. J’en nommerai donc bientôt un nouveau qui aura la charge de me seconder dans le discernement concernant l’évangélisation et de m’épauler dans sa mise en œuvre.

Pour cela, et par conviction personnelle, j’ai souhaité, durant ce mois de juin, consulter chaque paroissien, quel que soit son degré d’implication dans la vie paroissiale, voulant bien me faire part de son opinion à ce sujet. Pour ce faire, il vous suffit de remplir intégralement le formulaire au fond de l’église et de le déposer dans l’urne disposée à cet effet. Ces formulaires ne sont pas anonymes, ce ne sont pas des bulletins de vote. La dignité chrétienne abhorre les cancans anonymes et les cabales. En chrétiens, nous avons le courage de ce que nous pensons et nul ne saurait, sans se déshonorer gravement, s’abaisser à de tels agissements. Ecoutez ce que dit saint Jacques : « Comment se servir de la même langue pour louer Dieu et dire du mal du prochain qui est l’image de Dieu… ». Je sais pouvoir compter sur vous pour me faire part de façon motivée, en s’abstenant des cancans et des cabales, de celui ou de celle qui, selon sa conscience, devrait siéger dans ce conseil.

Nous sommes entre Ascension et Pentecôte, alors que nous prions l’Esprit Saint dans toute l’Église avec intensité, qu’il inspire chacun des membres de notre paroisse pour le bien à long terme de cette dernière.

Après avoir pris connaissance de chaque bulletin, dans le silence de la retraite spirituelle que je mènerai début juillet comme chaque année, je vous ferai part en septembre du nom de ceux qui auront accepté de répondre favorablement à mon appel.

Père Sébastien WAEFFLER, curé